Lady Lovelace. Que vous évoque ce nom ? Le pseudo d’une strip-teaseuse ? Vous avez tout faux. Lady Lovelace, de son petit nom « Ada », est une icône pour les informaticiens. Rien de moins. Et, pas toute jeune. Elle a vécu dans la première moitié du 19ᵉ siècle. Oui, l’histoire de l’informatique débute à cette époque.
Après la mite (lire par ailleurs sa petite histoire), voici un autre animal qui rejoint le vocabulaire informatique : la souris. Si l’on se passerait bien de la première nommée, ce périphérique est devenu indispensable pour l’utilisation de l’ordinateur. Un prototype peu ressemblant à notre souris actuelle Douglas Englebart* est un ingénieur américain, pionnier de… Poursuivre la lecture de La souris de Douglas Engelbart a révolutionné l’informatique
Le premier « bug » de l’informatique date des années ’40
En anglais, « bug » signifie « insecte ». Dans les années 1940, Grace Hopper, informaticienne, cherche la cause des pannes à répétition constatées dans un ordinateur dont elle a la responsabilité.
Elle découvre finalement une mite de 6 cm de long logée dans un relais. Elle rapporte l’incident dans son journal de bord avec la mention «First actual case of bug being found» (« Premier cas réel de découverte d’insecte ») et y colle l’animal. Depuis, le terme « bug informatique » est utilisé pour décrire toute panne ou dysfonctionnement informatique.
Pour la petite histoire : Terry Gillian s’est inspiré de cette anecdote pour son film « Brazil ». Une mouche avait alors remplacé la mite.
Facebook nous permet, grâce à l’historique personnel, de visualiser l’ensemble de notre activité sur le réseau : publications, photos, vidéos, mentions, etc et de pouvoir agir, a posteriori, sur leur visibilité. Tous les ordinateurs équipés du système d’exploitation Windows sont invités, certains diront forcés à passer à la version Windows 10. Si vous hésitiez encore, franchissez le pas tant que c’est toujours gratuit.
Certains voient dans le cookie une friandise inoffensive, d’autres une atteinte à notre vie privée. Stocké sur nos ordinateurs par les webmasters, ce petit fichier est pourtant bien utile pour notre confort de navigation sur le web.
Imaginez Ali Baba à notre époque. Il n’a pas l’opportunité, cette fois, d’entendre le chef des voleurs prononcer le fameux code d’accès. Il fait alors appel à un hacker. Vu la simplicité du mot de passe, en moins d’une seconde, c’était plié. Le précieux sésame était découvert…